Month: June 2003

I should choose among this list of processes involvbed in collaborationm the one that I have to study for my phd :

Negotiation/grounding/mutual modelling/abstraction/group memory/mutual regualtion/division of labour/shared cognitive load/explanation/internalisation/appropriation

The idea is to study the impacts of space-based awareness (location…) on the chosen process. For instance, what are the effects of location awareness on mutual modelling ? Does spatial information contributes to the construction of a mental model of one’s partner ?…

Attention à faire la part des choses entre des objectifs de recherche et ce qui est branché (la technologie quoi) !

le cheminement de ce compte-rendu reflète la réflexion que l’on aeu au cours de la discussion avec pierre, on en arrive à une ébauche de question de recherche vague… tout du moins d’idée de question de recherche

Mieux vaut focaliser sur la revue de littérature et trouver la dedans une question de recherche qui vaille la peine (donc mettre la technologie en arrière plan) -> Qu’est-ce qu’on peut soulever comme vraie question de recherche en terme d’espace ? il faut par exemple se rattacher aux notions sur l’espace : territoire, proxémique… en dehors de la technologie Il faut donc partir d’une idée fondementale. -> revue de littérature Espace, Awareness et Cognition.

Impact de l’espace sur le mutual modelling ? attention car le MM est lié à la tâche, il y a un impact lorsqu’il y a une forte relation entre tâche et espace. Le problème si l’on fait une expérience telle que mon petit projet avec de sgens qui ne se connaissent pas est que la tâche n’est pas claire. C’est dure d’avoir des impacts cognitifs,ce ser alors plutôt des impacts sociaux. Or ma thèse est plus “sciences cognitives” avec une composante social.

Attention aussi : il n’y a pas que l’espace social MAIS espace social + interaction. Les interactions donnent beaucoup d’information, plus que le spatial awareness tout seul.

Il faut trouver une population/tâche où l’espace a du sens !!!, tâche spatiale !

Exemple d’étude à faire : Est-ce que les gens adaptent leurs façons de s’exprimer suivant si ils savent ou non ou est l’autre ? Donc expérience plus ou moins controlée MAIS avec deux groupes : avec et sans l’outil permettant de savoir où est l’autre. Etude donc de la relation entre le mode d’interaction et le degré d’awareness.

Le truc c’est qu’il faut vraiment réfléchir si on fait une expérience controlée ou non… parce que ca risque d’etre dur/serré de tout contrôler…

effet de l’outil d’awareness sur l’appartenance au groupe (comment on opérationnalise cette variable ?)

!!!!!! L’IDEE QUI RESSORT de ce meeting : prendre un mécanisme qui a lieu dans la collaboration (grounding, mutual modelling, negotiation, abstraction (les paires ont une représentation plus abstratire qu’un individu) et voir l’impact du spatial/location awareness (de l’espace donc la dessus). POUR CELA, étude des interactions entre les participants d’un groupe et voir le lien avec l’espace la dedans (comment il est utilisé, si il y est fait référence…) Il s’agit de lier ma thèse à une question opérationnelle de psychologie (cognition et technologie), le but n’est pas forcément d’être innovant mais que le sujet soit intéressant d’un point de vue recherche fondamentale.

(le but de ma petite étude sur les SMS et l’espace est de comprendre – justement – les liens entre SMS et espace (coordination spatiale notamment). Voir si l’espace est utilisé/citer de manière explicite ou implicite ? comment les gens s’y réfèrent, est-ce que c’est meaningful ?

After having read a definition of collaboration on mediaTIC, I would like to give a more general view :

Collaboration is a situation that involves two or more persons carrying out a joint activity. Three major features characterise a collaborative situation :

– The peers who collaborate have almost the same level considering the action they can perform, the knowledge and the skills they possess. This means that there must be, more or less, a degree of symmetry in the interactions performed by the participants of a collaborative activity.

– The participants share common goals or a common interest which is the reason of their interaction : performing a task. They also have personal goals (which are their own private motivation).

– There is a division of labour among the participants. Academics often distinguish cooperation and collaboration. The author states that “In cooperation, partners split the work, solve sub-tasks individually and then assemble the partial results into the final output. In collaboration, partners work together”.
Collaboration also concerns the interactions which take place between the participants. First, a collaborative activity implies interactivity. That does not mean that what matters is the amount of interactions. In fact, the extent to which the interactions between group members influence the participants’ cognitive processes is a more accurate criterion to define the degree of interactivity. It is also often claims that carrying out a joint activity together (i.e. to collaborate) implies synchronous communication (whereas asynchronous communication is often used for cooperation). As a matter of fact, to work synchronously, participants need to interact synchronously. It must be stressed that negotiation is also an important feature during collaboration. Participants discusses, justify, argue and try to convince their partners.
We should finally bear in mind that collaboration imply the same cognitive mechanisms as those which operate in individual cognition. Reasoning processes like induction, analogy-based reasoning or self-explanation are used, as well as cognitive load.
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Via anne, I fell on this Urban Tapestries project. This is “a framework for understanding the social, cultural, economic and political implications of pervasive location-based mobile and wireless systems.”.

They built “an experimental location-based wireless platform to allow users to access and author location-specific content (text, audio, pictures and movies)”. This space is seen as “a forum for exploring and sharing experience and knowledge, for leaving and annotating ephemeral traces of peoples’ presence in the geography of the city.”

This project, very relevant to my thesis, deals with the concept of Social Navigation. The authors are more interested in the social and politics impacts. I would prefer to deal with cognitive and social issues at a micro level (team of 5-10 people).