Je viens juste de finir le dernier roman de maurice dantec (villa vortex). Finir est un grand mot, je me suis effectivement arrete a la page 625 en gros a la mort du narrateur george kernal. ensuite, cela devient un tel charabia pseudo-philosophico-mystico-cryptique que j’ai lu en lecture rapide. Cette fin est particuièrement pénible même si des idées intéressantes surgissent.
Je retiendrais tout de même de ce Villa Vortex une composante FONDAMENTALE. En effet, commme je l’avais note dans un post il y a quelque temps, on peut établir les strates socio-politiques suivantes (ou je suis alle chercher un titre pareil putain) :
1. Marx : impacts socio-économiques du système capitaliste
2. Debord : conséquences sociales du capitalisme : la société du spectacle
3. Houellebecq : conséquenecs sexuelles du capitalisme (les comportements sexuels d’aujourd’hui)
Je rajouterais en 4 Dantec avec sa théorisation du crime (en série notamment) comme dernier ressort du système (dans le sens LA Machine = le système capitaliste)…
L’histoire de Kernal au cours des années 90 reflète bien le cheminement intellectuel de dantec : ses thèmes récurrents sont résumés : IA, yougoslavie, fin de l’europe, retour a la religion (chrisianisme, kaballe).
En tout cas, ce permier volume d’une trilogie sera le dernier que je lirais, vu que les dernieres pages de villa vortex presentent ce sur quoi le deuxieme tome va embrayer…. beuh