Je sais pas pourqoi les séminaire (comme celui-la) sont si pompeux, au 21ème siècle, 30 ans après les situs (debord rulez), il serait temps de se rendre compte que la ville, terrain de la collectivité est une aire de spectacle dans laquelle peuvent s’insérer des activités passionantes et inutiles (dans le sens, sans but comme aller acheter du pain ou aller a la laverie).
Est-ce qu’il y a des gens qui s’intéressent à l’acte urbain inutile, aller flaner n’importe où, se pencher sur l’esthétique des zones industrielles, des cylindres de fumée partant dans le ciel ou le flux des gens dans les rues…
On pourrait imaginer tant d’activités inutiles au coeur des villes… pour que les gens se la réapproprient. Un geste simple, c’est regarder en l’air, les batiments par exemple, plus personne ne semble s’intéresser à l’urban planning général de son lieu de vie 🙁
Il semble que ce soient les technologies qui provoquent une sorte de “choc” et donc des transformations : les suédois avec leur sorte de jeu de rôle grandeur nature avec téléphone portable (il s’agit de lancer des sms pour “attaquer” des adversaires repérés par gps sur site web par un contact resté devant son pc at home), les new yorkais qui balancent des sms groupés pour avertir leur potes qu’ils ont vu une star dans la ville… ou plus simple : se balader en ville avec une digicam, prendre des pics et les balancer sur les forums pour ?
TODO : faire un state of the art des technologies de location-based entertainment urbain
La technologie pourrait être un détonateur permettant la création d’ACTIVITES URBAINES, a mi chemin entre la contempaltion des situs sur la ville et l’interaction du jeu vidéo, le tout traversé par le courant des jeux de rôles grandeur nature…